“la pierre qui chante”, selon l'étymologie guaranie du vocable itaipu, s'est muée en “turbines qui mugissent” depuis que le puissant Paraná a été entubé vif dans ces cataractes de béton armé. Un petit miracle de diplomatie côté paraguayen – un prodige d'endettement national pour le Brésil.

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photo 1/10 – Le portique d'entrée du complexe

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photo 2/10 – Schéma en coupe du barrage (et annotations bouffonnes...)

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photo 3/10 – Vue générale du barrage

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photo 4/10 – Vue plongeante sur le déversoir, faisant office de soupape

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photo 5/10 – Sur le “chemin de ronde”, bordé par les vérins qui contrôlent les vannes

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photo 6/10 – En amont, la retenue

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photo 7/10 – Le Paraná entubé

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photo 8/10 – Descente dans les entrailles du colosse de béton

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photo 9/10 – La salle des turbines (lesquelles vrombissent sous nos pieds)

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photo 10/10 – Une des 20 turbines

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Le portique d'entrée du complexe	Schéma en coupe du barrage (et annotations bouffonnes...)	Vue générale du barrage
Vue plongeante sur le déversoir, faisant office de soupape	Sur le “chemin de ronde”, bordé par les vérins qui contrôlent les vannes	En amont, la retenue
Le Paraná entubé	Descente dans les entrailles du colosse de béton	La salle des turbines (lesquelles vrombissent sous nos pieds)
Une des 20 turbines

Localisation : Paraná Paraneña

Superficie (en km²) : 1.350

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